Sanctions infligées à la Guinée : ‘’ C’est une question de principe parce qu’ils sont signateur du protocole de la CEDEAO ‘’ réagit un acteur de la société civile guinéenne.

En marge de la 36e session ordinaire de l’union Africain tenu le samedi dernier à Addis Abeba , la CEDEAO a maintenue les sanctions contre la Guinée et ses pays frères le Mali et le Burkina fasse, décidant de l’interdiction des membres du gouvernement de voyagé hors du territoire. Cette déclaration de la CEDEAO.

Depuis cette annonce, les réactions fusent de partout. Notre reporter a tendu son micro ce mercredi 22 février 2023 a un acteur de la société civile, « C’est une question de principe parce qu’ils sont signateur du protocole de la CEDEAO. Ces institutions sont là pour nous accompagner pour le respect des questions liées à la DEMOCRATIE la collaboration entre la GUINEE et la CEDEAO date depuis longtemps donc il est normal que la CEDEAO accompagne les autorités de la transition jusqu’au retour à l’ordre constitutionnel. En ce qui concerne l’interdiction des membres du gouvernement à sortir, ça ne doit à être », a réagi Yamoussa Bangoura .

Selon cet acteur de la société civile, il est extrêmement important que la CEDEAO puisse revoir ces sanctions compte tenu des réalités sociaux politique actuelle dans la sous-région . « il est nécessaire aujourd’hui vu tous ce que nous voyons dans le cadre de cette transition et le délais donné à la Guinée pour un retour rapide à l’ordre constitutionnel, il serait nécessaire que la CEDEAO puisse revoir ces sanctions et que les autorités fassent le maximum pour maintenir les relations avec la CEDEAO », a indiqué Yamoussa Bangoura

Il serait ainsi important que les parties prenante respecte leur engagement en vue de favoriser un dialogue inclusif et apaisée

Anne Marie Haba